Théâtre
Je hurle
Un jour, le metteur en scène de La SoupeCie, Éric Domenicone, découvre dans Courrier International l’existence à Kaboul du cercle littéraire féminin Mirman Baheer.
Tous les samedis, des Kabouliennes s’y rassemblent pour recueillir par téléphone les poèmes composés par des Afghanes de tout le pays. L’article rapporte l’histoire de Zarmina, une jeune femme surprise par sa famille en train de dire son poème au téléphone. Battue en représailles, elle se donnera la mort quelques jours plus tard. Ces poèmes afghans sont le carburant, la matière et la raison d’être de Je hurle. Cri de désespoir puisque Zarmina est morte. Cri d’espérance puisque Mirman Baheer existe encore. SV
7 février, Théâtre de l’Archipel, Perpignan. 10 février, Théâtre, Nîmes.
Publié par Rédaction de Ramdam
Théâtre de Nîmes, Nîmes
Théâtre
1 Pl. de la Calade, 30000 Nîmes
30000 Nîmes
Tél : 04 66 36 65 00