Jack London, le vagabond magnifique / Compagnie Antidote

« Si la Civilisation a augmenté le pouvoir de production de l’individu moyen, pourquoi n’a-t-elle pas amélioré le sort de cet individu ? »
En 1902, Jack London part vivre dans l’East End londonien, y compris le fameux quartier de White chapel. Il loge dans les hospices pour pauvres, dort dans la rue. De cette expérience il tirera un livre Le Peuple de l’abîme, témoignant des conditions de vie qu’il a connues et qui étaient celles endurées par près 500 000 londonien·nes…
Toute sa vie, Jack London va ainsi témoigner de sa présence au monde. Il a vécu quarante ans et a écrit plus de cinquante livres, des nouvelles, du théâtre, des essais, de nombreux articles de presse et a réalisé des milliers de photographies.
Un siècle plus tard, l’écho de ses paroles résonne-t-il encore ?

Gilles Fossier, lecture
Fabrice Godard, images
Sébastopol, guitares et sons

En parallèle, vous pourrez retrouver sur les murs de la Cave Poésie, une exposition d’affiches sérigraphiées consacrée à l’univers de Jack London, par Victor Girod.