[Espace Roguet] Nous avons en commun la résistance – Rue de la Commune

𝐍𝐨𝐮𝐬 𝐚𝐯𝐨𝐧𝐬 𝐞𝐧 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧 𝐥𝐚 𝐫𝐞́𝐬𝐢𝐬𝐭𝐚𝐧𝐜𝐞
𝐑𝐮𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐞
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Épopée chantée
Durée : 1h40 – Avant-première du spectacle
Tout public à partir de 14 ans
Résidence de création

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𝐋𝐚 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧𝐢𝐞 𝐑𝐮𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐚𝐜𝐜𝐨𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧𝐞́𝐞 𝐞𝐧 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐞𝐧𝐚𝐫𝐢𝐚𝐭 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥𝐞 𝐓𝐡𝐞́𝐚̂𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐮 𝐆𝐫𝐚𝐧𝐝 𝐑𝐨𝐧𝐝 𝐨𝐮̀ 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐩𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐧𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐮 𝐬𝐩𝐞𝐜𝐭𝐚𝐜𝐥𝐞 “𝐍𝐨𝐮𝐬 𝐚𝐯𝐨𝐧𝐬 𝐞𝐧 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧 𝐥𝐚 𝐫𝐞́𝐬𝐢𝐬𝐭𝐚𝐧𝐜𝐞” 𝐚𝐮𝐫𝐨𝐧𝐭 𝐥𝐢𝐞𝐮 𝐝𝐮 𝟏𝟏 𝐚𝐮 𝟐𝟎 𝐝𝐞́𝐜𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 𝟐𝟎𝟐𝟓, 𝐝𝐮 𝐣𝐞𝐮𝐝𝐢 𝐚𝐮 𝐬𝐚𝐦𝐞𝐝𝐢 𝐚̀ 𝟐𝟏𝐡.
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1940, des milliers de femmes entrent en résistance. Elles luttent pour la guerre, contre la faim mais aussi contre la place que veut leur octroyer le régime de Vichy. Parmi elles, entre elles, des amours...
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Un spectacle musical à trois entrées qui se déroule pendant la seconde guerre mondiale : C’est une histoire de femmes, dont certaines entrent en Résistance. C’est une histoire de lesbiennes, qui essayent de se frayer un chemin alors que plus que jamais on cherche à nier leur existence. C’est une histoire géographique entre Paris, ville occupée et Toulouse et sa région qui sont des lieux de passage et de résistance. Le spectacle est nourri de chansons originales et d’une création musicale à la fois instrumentale et chantée. Elle est incarnée par quatre chanteuses, musiciennes et comédiennes.
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En juin 1943 est fondé le Conseil national de la Résistance en réponse à la Révolution Nationale prônée par le Maréchal Pétain. Quelques mois plus tard, c’est le programme du CNR qui est adopté par l’ensemble des groupes membres. Ce programme porte des propositions sociales qui seront réalisées dans les années qui suivirent la guerre. Fallait-il une guerre pour se persuader que la retraite ou la sécurité sociale... étaient des progrès pour l’humanité ? C’est aussi au sortir de la guerre qu’on donna aux Françaises le droit de vote. Fallait-il une guerre pour que les femmes soient enfin reconnues citoyennes, elles qui avaient lutté depuis la Révolution française pour les droits de tous ?
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A défaut de voter, les femmes avaient le droit d’être torturées comme le fut Madeleine Riffaud, d’être déportées comme le furent des milliers de “Juives” et des centaines de Résistantes, elles avaient le droit de mourir (comment oublier Danièle Casanova ?) ... Elles prirent le droit de porter des valises, d’organiser, d’écrire, de créer des chansons (comme Anna Marly, auteure de la musique du Chant des Partisans). Des milliers de femmes prirent part à des formes de résistance, très diverses. Elles étaient travailleuses ou femmes au foyer. Elles étaient de tous âges. Elles étaient syndicalistes, partisanes ou sensibles à l’injustice. Certaines étaient patriotes, d’autres étaient étrangères et croyaient en la France comme idée plutôt que comme identité. Elles le firent seule ou en couple. Qu’on pense à Andrée Jacob et Éveline Garnier. Elles furent souvent à l’initiative d’un engagement, qu’on pense à Elsa Triolet, qui annonça à Louis Aragon qu’il serait bon qu’ils se quittent car elle voulait prendre sa part de combat.
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Aujourd’hui, face à la montée des partis d’extrême droite en France et dans toute l’Europe, Rue de la Commune s’empare des archives de la résistance pour faire revivre les parcours des femmes et les lesbiennes qui se sont engagées et interroge leurs trajectoires.
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Texte : Anouk Colombani | Composition, guitare, chant, jeu : Mymytchell | Composition, piano, chant, jeu : Aïda Sanchez | Mise en scène, scénographie : Olivia Combes | Chant, jeu : Christelle Boizanté, Léa Noilhan | Création et régie son : Charlyne Cazes | Costumes : Lili Lelieu | Crédit photo : Céline Lajeunie
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Coproducteur.rices : Le Théâtre du Grand Rond, la LIG – Fond de dotation Féministe et Lesbien
Partenaires : Le Centre Culturel Henry Desbals, La Gespe – Tarbes, Le Bijou - Toulouse, Le Tracteur – Cintegabelle, Les récréatives – Biennale féministe de Toulouse, La Fête de la Chanson Politique de Mazères-sur-Salat, La Petite, &Cie(s), ArtScénica, Le Café Plùm - Lautrec, L’AGIT Théâtre, Le Musée de la déportation et de la résistance de Tarbes, Conseil Régional Occitanie, Conseil départemental de la Haute-Garonne : Espace Roguet et Musée départemental de la Résistance & de la Déportation de Toulouse
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🔷 𝐑𝐞́𝐬𝐞𝐚𝐮𝐱 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐮𝐱
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▼ 𝐈𝐍𝐅𝐎𝐑𝐌𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍𝐒 𝐏𝐑𝐀𝐓𝐈𝐐𝐔𝐄𝐒
📍 Espace Roguet - 9 rue de Gascogne 31300 Toulouse
Pour venir à l’Espace Roguet, nous vous encourageons à privilégier les transports les moins polluants possibles :
🚇 Métro stations Saint-Cyprien (6 minutes à pied) ou Patte d’Oie (7 minutes à pied)
🚌 Ligne 14/66/45 - Arrêt bus Espace Roguet (3 minutes à pied)
🚲 Espace de stationnement pour vélos aux abords du site
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🌐 https://www.haute-garonne.fr/service/espace-roguet
☎️ 05 34 45 58 30 Les soirs de spectacles : 05 62 86 01 67
✉️ contact.dav@cd31.fr
👉 https://www.facebook.com/CulturesHG
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🎟️ Les spectacles sont gratuits et sans réservation dans la limite des places disponibles. Les billets sont à retirer à l’entrée 30 minutes avant le début des spectacles. Les billets seront uniquement remis aux personnes présentes physiquement. Les spectacles commencent à l’heure.
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▼ 𝐀𝐂𝐂𝐄𝐒𝐒𝐈𝐁𝐈𝐋𝐈𝐓𝐄́
Personnes à mobilité réduite : une place de parking est en accès direct au site. Des places en bord de scène sont disponibles.

𝐐𝐮𝐞𝐥𝐬 𝐪𝐮𝐞 𝐬𝐨𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐯𝐨𝐬 𝐛𝐞𝐬𝐨𝐢𝐧𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐯𝐞𝐧𝐢𝐫 𝐚̀ 𝐥’𝐄𝐬𝐩𝐚𝐜𝐞 𝐑𝐨𝐠𝐮𝐞𝐭, 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐢𝐧𝐯𝐢𝐭𝐨𝐧𝐬 𝐚̀ 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐚𝐜𝐭𝐞𝐫 𝐞𝐧 𝐚𝐦𝐨𝐧𝐭 𝐚𝐟𝐢𝐧 𝐝𝐞 𝐫𝐞́𝐩𝐨𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐚̀ 𝐯𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐦𝐚𝐧𝐝𝐞 𝐞𝐭 𝐩𝐫𝐞́𝐩𝐚𝐫𝐞𝐫 𝐚𝐮 𝐦𝐢𝐞𝐮𝐱 𝐯𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐯𝐞𝐧𝐮𝐞.