Marion Gronier & Gosette Lubondo

La première creuse le genre du portrait : ils sont amérindiens, descendants d’esclaves africains ou de colons européens.

La seconde convoque les fantômes du passé en réinvestissant trains abandonnés, écoles désaffectées et vestiges de palais ensevelis sous la jungle. Quand l’une scrute les visages, l’autre se réapproprie les lieux chargés d’histoire, pour chacune à sa manière raconter l’histoire et l’identité d’un pays : Marion Gronier celle des Etats-Unis, Gosette Lubondo celle de la République Démocratique du Congo.